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kaede

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16 avril 2012

http://www.youtube.com/watch?v=8UVNT4wvIGY

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4 juin 2011

Enfin l'orage...

 

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21 août 2008

étouffement

J'étouffe.

hop, de nouveau l'angoisse de la page blanche... J'ai tellement de trucs qui me tournent dans la tête, mais dès qu'il s'agit de poser les mots concrètement, je n'y parviens plus...

J'étouffe.

Faire semblant d'être heureuse, tenir, avancer coûte que coûte parce que je suis forte, parce que sinon, on me fuira, parce que sinon on m'attaquera, on m'abandonnera...

Mais depuis quand ai-je été heureuse? Je ne le suis certainement pas maintenant, et j'arrive pas à entrevoir une sortie à ce problème, même si je me débat faiblement.

J'étais heureuse quand j'étais au lycée, j'étais heureuse quand je bossais là bas. J'étais heureuse il y a un peu plus de deux ans jusqu'à il y a un an, peut-être même un peu plus longue la période...

ça n'empêchait pas les emmerdes, les coups durs, les grosses déprimes, non. Ça ne m'empêchait pas de pleurer, de recevoir des grosses claques, des trahisons sur lesquelles je me suis suffisamment épanchée ici même pour ne pas à avoir à y revenir.
Trahisons qui d'ailleurs, aujourd'hui me laisse de marbre, un peu gênée à la rigueur, comme un vague mauvais rêve... Beaucoup de choses se sont retrouvées mise en question finalement, "grâce" à ça...

Mais j'avais quelque chose à quoi me raccrocher. J'avais ces moments de purs bonheur. Ces rires qui venaient du coeur, ces objectifs, cette confiance.

Cette force.

J'ai quoi aujourd'hui?
On me dit que je devrais être heureuse, après tout, j'ai un appart j'ai un taf (ouais bon celui là on va l'oublier hein...)

Si seulement ça suffisait...

Combien de temps je vais tenir moi? Combien de temps à me cramponner à mes certitudes et à mes principes, même quand celles-ci s'effilochent, même quand personne n'est là pour constater ces principes ? Combien de temps à tenter de me comprendre, de me maîtriser, faire la part des choses et de mon émotion, jusqu'à m'en auto flageller, jusqu'à me déclarer coupable, et me trouver exécrable.

Combien faudra t-il que je sois lâche?

J'ai peur désormais. Peur de mes coups d'éclats qui étaient moi, du courage que je pouvais avoir, même courage ça signifiait jouer à quitte ou double. Aujourd'hui j'ai peur de perdre quoi? puisque je n'ai rien.

Aujourd'hui j'ai mal de rêves que j'avais fais, j'ai mal de mon insignifiance.

Journée de deuil...

29 mai 2008

Alors je sombre dans le silence...

Chaque mot que je prononce écorche, agresse, déchire...

Je me tue à réfléchir, peser, re-peser chacun de mes mots, pour ne pas blesser, pour ne pas heurter, jusqu'à dénaturer le message, jusqu'à perdre le sens...

Sans aucun résultat, apparement.

Alors, ne me reste que le silence. Ou je sombre, malgrès moi, je devient de plus en plus incapable de communiquer... Silence, j'étouffe, je n'en peux plus et je ne sais même plus crier à l'aide... A qui adresser mes suppliques, de toute façon ?

Asphyxie, réelle, implacable... Combien de temps pour que j'en meurs?
Déja j'abandonne. Déjà je ne sais même plus me défendre. Doucement la chute...

8 avril 2008

réminiscence

"Je sais pas où tu vas, je sais pas qui va te suivre mais je sais que tu ne vas pas tarder à revenir, vu que tu as oublié les clefs sur la porte... Bref, j'ai juste envie de dire que la lacheté, c'est la force de laisser aux autres ou à l'air du temps de décider à sa place et c'est déjà pas mal."

Posté par fargo, 05 octobre 2006 à 10:52

amusant de regarder la retrospective... et de constater qu'effectivement, je n'ai pas bougé, pas d'un pouce. Oh, j'ai avancé, du moins c'est ce qu'on me dit, ce que je m'efforce de faire... Mais au final, pour paraphraser une autre personne (qui, et ça me fait bien mal de le reconnaitre, a dit qqs trucs assez juste mine de rien) on en revient toujours au même, au début...

Point mort donc. Pourtant, tout autre point de vue...

Je veux être heureuse... et en ce printemps, là, j'y crois presque... un petit élan d'espoir qui me revient, soudain, me ravive. L'attente, impatiente, délicieuse, l'espectative d'un je ne sais quoi... Sensilble à la saison, je crois, pourtant ce printemps n'a pas le même gout, pas tout à fait. Le gout du déja vu se confond avec la surprise...

J'en veux encore plus, toujours...

Et poutrtant... Toujours au même point, exactement, la même place... Je savais que je disis vrai..

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29 mars 2008

pas celle que je cherchais, m'enfin bon...

pas celle que je cherchais, m'enfin bon...

http://sambakza.gemtoy.com/01_tteotta_eng/tteotta_eng.htm

20 mars 2008

et pourtant...

... j'ai comme une envie d'insouciance, là, tout de suite, maintenant...

Envie de courir pieds nus, de rire, peut-etre d'être légèrement pompette, pour la légèreté, ou peut-être pas, en fait.
Revenir à ces moments de pure innocence, I'm starving for it...

Un coourt instant de répit, un ptit moment de bonheur concon...

^^

19 mars 2008

colère

comme il est étrange de retrouver les vieux réflexes, les mêmes hésitations, la même angoisse de la page blanche, cette difficulté à entrer en matière, que dire? comment? si longtemps après...

Savoir ce qu'on veut dire - quoique- tiens, même ça c'est pareil !

Des mois de silences, et je n'ai pas changé d'un pouce... c'est à désespérer !

Bref, on va dire que cela faisait office d'entrée, même si je ne suis pas du tout sûre de ce que j'y avance. Youpie.

Je suis perdue. Ben oui, de cet état qui me fait venir ici déverser ma bile ou mes doutes (et qui vaut à mon blog d'arborer des pubs google sur la dépression, l'angoisse, l'anxiété, les traitements contre la dépression (et "perdez 5 kilos en une semaine", celle ci je dois la prendre comment?!!)

Bref bis.

Je n'avance plus. Et je n'arrive pas à trouver l'énergie pour avancer. La belle dynamique que j'avais lancée il y a quelques semaine, ma belle décision de claquage de porte avec fracas, de mise en danger génératrice de ma copine adrénaline est retombée ciomme un vieux soufflet. Ma décision est toujours là dans un coin de ma tête hein, oui, toujours présente, et je sais exactement ce qu'il faut pour tout mettre en oeuvre...

Sacré chantier. Qui m'épuise déjà...

Et là je me rend compte, que mon moteur, c'est la colère. La colère qui me fait tout claquer, tout envoyer valser, quitte à le regretter. La colère qui me fait bouger des montagnes, la mise en danger, marcher au bord, juste au bord, voir rouge, et ce souffle chaud qui me parcours, me fait bouillonner les tripes...
Mais on m'a retenue. Moi qui n'y croyais plus, pour quelque domaine que ce soit, je n'y croyais plus. ça m'a touchée...

Et paf, le soufflet. As simple as that...

Ben oui, sauf que le "retenage", finalement, il s'avère peut-être un peu mou. Peut-être. Et je ne sais plus croire les promesses, donc m'exhorte à me remotiver, à repartir en guerre, là, juste dans ma peur, mes angoisses, plonger dans l'inconnu en se disant "advienne que pourra, j'ai confiance"...
Ah, tiens, c'est peut-être là que ça coince? Parce que pour être parfaitement honnête, je ne réfléchis pas tant, dans la colère. Je plonge juste dans la merde (bon, ok, juste je respecte mes convictions profondes et ma conscience, mais par expérience, ça revient souvent au même...). Et après, ben je n'ai plus le choix, faut que je m'en tire... ma lacheté.

Seulement la colère, ça tiens pas sur le long terme. Et après la colère viens le doute, affreux, être mise face à ma propre feignantise, ma médiocrité, et j'en passe sinon google va encore me gâter niveau add...

Bref, je fais quoi? Du plus profond de ma solitude choisie, je veux aller ou?

J'ai plus de chemin... Tout a bien trop changé depuis deux trois ans, trop vite, surtout sur l'avant dernière longueur. Tous mes projets, mes visions du futur se sont lamentablement étalées, les liens défaits, les beaux rêves ont un chouillat ternis (mais ils sont toujours là pourtant, c'est bien ça le plus étonnant...)

Peut-être que ce n'est qu'une sale passe. Peut-être certains anniversaires me freinent pour le moment (merci Aude :p ) malgré moi...

Mmh, je me trouve encore des excuses...

j'oscille entre enthousiasme débordant et profond découragement, entre optimisme ambitieux, et la sensation que finalement, je ne vaut peut-être pas tant que ça...

La même en somme .

16 mars 2008

se rappeler...

"Apprendre encore plus précisement à se débarasser de la mère trop positive. Découvrir que la bonté, la gentillesse, un comportement agréable ne feront pas pour autant que la vie sera belle (Vassilia devient une esclave et cela ne l'aide en rien). Faire l'expérience de sa propre part d'ombre, et tout particulièrement des aspects de soi les plus susceptibles d'exclusion, de jalousie, d'exploitation (la marâtre et ses filles). Les reconnaître sans equivoques. Etablir des relations aussi bonnes que possible avec ses plus mauvais cotés. Laisser monter la pression entre ce qu'on nous apprend à être et ce qu'on est réellement. Enfin, travailler à laisser mourir le vieux soi pour que naisse le nouveau soi intuitif."

Clarissa Pinkola Estés,
Femmes qui courent avec les loups

Histoires et Mythes de l'archetype de la femme sauvage

16 mars 2008

" Etre forte ne signifie nullement arborer

" Etre forte ne signifie nullement arborer une impressionnante musculature. Cela signifie qu'on peut rencontrer sa propre numinosité sans s'enfuir, qu'on peut vivre à sa façon avec la nature sauvage. Cela signifie être capable d'apprendre et de supporter ce que nous savons. En d'autres termes, tenir le coup et vivre. "

Clarissa Pinkola Estés,
Femmes qui courent avec les loups

Histoires et Mythes de l'archetype de la femme sauvage

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